Car l’amitié dont je peins le tableau, est celle qui explore jusqu’aux heures les plus difficiles, jusqu’aux chemins les plus infréquentés, jusqu’à l’amertume de l’existence, jusqu’à trouver le charme dans l’insupportable, la douceur dans la lutte et qu’à la fin elle sort triomphante de cette traversée ! Maman, j’ai cessé de prendre l’ignorance de l’esprit pour l’innocence du cœur.
