Puis un jour, aujourd’hui cessa d’être complice, Puis un autre jour, demain se cacha le visage Puis le passé lui rappela la cruauté de sa quête ! Il faut vivre ces instants présents de la vie parce que « trop tard » pourrait être demain !

Parlons de ce que nous laisse ce voyage. Un souvenir, une pensée, une image, des mots qui résistent à l'oubli! Parlons de cette vie là, qui se vit et qui sévit! une vie qui passe encore et encore et puis qui s'arrête pour toujours!
Puis un jour, aujourd’hui cessa d’être complice, Puis un autre jour, demain se cacha le visage Puis le passé lui rappela la cruauté de sa quête ! Il faut vivre ces instants présents de la vie parce que « trop tard » pourrait être demain !
Certaines douleurs n’exigent pas qu’on les ressente, elles arrivent avec l’option de les ignorer ! Certaines douleurs ne demandent pas tant que l’on s’occupe d’eux dans l’immédiat. Elles sont sourdes, elles sont malignes, car elles sont imprévisibles ! Certaines douleurs arrivent sans hâte de faire les dégâts, elles prennent leur temps, elles examinent leurs proies et leur donnent un peu de répit ! Certaines douleurs arborent un sourire, elles dansent sur des chansons tristes et elles laissent la vie suivre son cours sans exiger quoique ce soit ! Certaines douleurs portent des lunettes pour cacher un visage défiguré. Elles simulent la douceur pour faire bonne figure ! La force des enfants est de ridiculiser le mal en exprimant leurs peines, la bêtise des adultes est de garder la peine pour eux en pensant conjurer ce mal ! Certaines douleurs n’exigent pas qu’on les ressente, j’aimerais sentir les miennes et m’en tirer comme une enfant plutôt que les ressentir sur le tard et survivre comme un adulte !
C’est l’amour visible des liens invisibles, Ce sont des âmes destinées à s’aimer et des murs destinés à s’effondrer ! C’est un lien tissé à partir d’un rien. Un rien à l’origine des milliers de souvenirs ! Un lien au-delà du sang, un lien au-delà du réveil des sens ! Un lien unique et universel, car c’est un lien d’amitié. C’est l’amour qui n’exige ni l’âge ni le genre. Un amour qui n’exige ni couleur ni cadre professionnel. Un amour qui n’a ni parents en commun, ni frères et sœurs. Ce genre d’amour qui ose l’intimité sans exiger l’intime. Ce genre d’amour qui insulte sans offenser, ce genre d’amour qui souligne le bien et qui n’hésite pas à pointer du doigt le mal. Un lien unique et universel, un lien de loyauté, car c’est un lien d’amitié !
Qui peut dire si nous nous aimions vraiment ? Nous n’avons jamais songé à mettre à l’épreuve nos sentiments ! Nous avons planté des rosiers, mais nous ne savions pas si elles allaient être couvertes des épines ! Nous étions insouciants, sans avenir ni inquiétude d’une vie à venir ! Nous étions juste là, présents. Que ce qui change entre hier, aujourd’hui et demain ? RIEN. Que ce qui change entre la semaine d’avant cette semaine et la semaine prochaine ? PEU DE CHOSES. Que ce qui change entre le mois dernier, ce mois-ci et le mois d’après ? LES SAISONS. Que ce qui change entre l’année dernière, cette année et l’année prochaine. Beaucoup des choses : UNE PANDÉMIE, LA GUERRE ET LE SÉISME par exemple. Que ce qui change entre l’enfance, l’adolescence et l’âge adulte ? LA VIE. Nous étions jeunes, nous ignorions ce que c’était la vie d’adulte ! L’adulte rationalise, il doute puis se protège avant même le danger ! Le propre de l’adulte est de prévoir ! Nous avons cessé de nous fier à nous-mêmes quand nous avons commencé à craindre ce qui pourrait survenir ! Nous avons trahi l’enfant, nous avons déçu l’adolescent et nous avons créé l’adulte fier, mais malheureux !
La vie est partout, elle est dans tout même dans l’inertie. Je l’ai observé dans une pierre, je l’ai observé dans un café. Tout le temps que je me suis sentie vivante, la vie s’est rendue visible et présente dans chaque objet ! Un drapeau qui s’agite, un gratte-ciel qui tutoie les étoiles, une photographie qui convoque les histoires d’antan, un livre qui se laisse pénétrer ou bien un tableau qui se laisse interpréter. Tous ces non-vivants qui m’ont pourtant donné la vie ! Toutes ces choses qui n’ont jamais exigé une patrie, toutes ces choses qui m’ont émue sans chercher à m’émouvoir. Combien de fois me suis-je sentie chez moi, dans la maison d’un étranger ? Combien de fois me suis-je sentie heureuse sans la présence d’un ami ? Combien de fois me suis-je senti compris dans un pays qui n’est pas mien ? Combien de fois la vie m’a-t-elle surpris dans l’inaccessible, dans l’inattendu, dans la rencontre ? Pour toutes ces fois, j’ai formulé ce vœu
Mon ami, Parfois, la puissance d’un ami ne réside pas dans le faire, mais dans sa capacité à reconnaître son impuissance. Vouloir tout résoudre n’est pas toujours une marque d’amour, seulement un trait de personnalité. Vouloir que tout soit résolu avec ou sans nous, cela est le propre d’un amour bienveillant ! Écouter sans conseiller, être là sans encombrer, s’effacer sans disparaître, voilà qui est difficile !
Les gens ont leurs raisons d’aimer. Mais le plus souvent, ils aiment les plus aimables et les plus aimables ne sont pas toujours les meilleurs d’âmes, seulement les meilleurs d’armes.
mais toi quand tu viens à moi. Ne parais pas, je t’en prie. Viens dans ta nature profonde, nous avons tant de choses à vivre et j’ai tout intérêt à apprendre de toi, ce qu’est la vie ! J’ai soif de vivre sans prescription des réseaux et sans désespérance d’une vie belle ! Mon ami ; Plutôt que de me confiner j’aime mieux me confier ! Tiens, mes pensées dans ton noble cœur. Avec toi, je veux tendre au lieu de prétendre ! Avec toi, je veux rendre au lieu de vouloir tout prendre ! Je vais attendre et espérer au lieu d’entendre les bruits qui courent en propageant des rumeurs que cette vie n’est que douleur.
Mon ami, nous sommes complets chacun à sa manière, nous sommes des rêveurs de peu ou de grandes choses, nous sommes en vie de peu ou de longue durée. Il nous appartient d’être vivants le temps que durera notre vie ! Mon ami nous sommes si grands et si petits, nous sommes si peureux et si braves, nous sommes si joyeux et si tristes et c’est cela la complétude dont je te parle !