Puis un jour, aujourd’hui cessa d’être complice, Puis un autre jour, demain se cacha le visage Puis le passé lui rappela la cruauté de sa quête ! Il faut vivre ces instants présents de la vie parce que « trop tard » pourrait être demain !

Parlons de ce que nous laisse ce voyage. Un souvenir, une pensée, une image, des mots qui résistent à l'oubli! Parlons de cette vie là, qui se vit et qui sévit! une vie qui passe encore et encore et puis qui s'arrête pour toujours!
Puis un jour, aujourd’hui cessa d’être complice, Puis un autre jour, demain se cacha le visage Puis le passé lui rappela la cruauté de sa quête ! Il faut vivre ces instants présents de la vie parce que « trop tard » pourrait être demain !
Assise avec mes contradictions, Voyant défiler le paysage, voyant défiler mes pensées vides de certitudes, Assise avec mes doutes, Doutant de mes qualités d’hier, Souffrir en silence, pleurant dans un train en marche, Marcher sans savoir où je m’arrêterai. Vivre parce qu’il le faut et non parce que j’éprouve le goût de la vie ! Il y'a des jours comme ça, à cent puis à sans!
Qui peut dire si nous nous aimions vraiment ? Nous n’avons jamais songé à mettre à l’épreuve nos sentiments ! Nous avons planté des rosiers, mais nous ne savions pas si elles allaient être couvertes des épines ! Nous étions insouciants, sans avenir ni inquiétude d’une vie à venir ! Nous étions juste là, présents. Que ce qui change entre hier, aujourd’hui et demain ? RIEN. Que ce qui change entre la semaine d’avant cette semaine et la semaine prochaine ? PEU DE CHOSES. Que ce qui change entre le mois dernier, ce mois-ci et le mois d’après ? LES SAISONS. Que ce qui change entre l’année dernière, cette année et l’année prochaine. Beaucoup des choses : UNE PANDÉMIE, LA GUERRE ET LE SÉISME par exemple. Que ce qui change entre l’enfance, l’adolescence et l’âge adulte ? LA VIE. Nous étions jeunes, nous ignorions ce que c’était la vie d’adulte ! L’adulte rationalise, il doute puis se protège avant même le danger ! Le propre de l’adulte est de prévoir ! Nous avons cessé de nous fier à nous-mêmes quand nous avons commencé à craindre ce qui pourrait survenir ! Nous avons trahi l’enfant, nous avons déçu l’adolescent et nous avons créé l’adulte fier, mais malheureux !
mais toi quand tu viens à moi. Ne parais pas, je t’en prie. Viens dans ta nature profonde, nous avons tant de choses à vivre et j’ai tout intérêt à apprendre de toi, ce qu’est la vie ! J’ai soif de vivre sans prescription des réseaux et sans désespérance d’une vie belle ! Mon ami ; Plutôt que de me confiner j’aime mieux me confier ! Tiens, mes pensées dans ton noble cœur. Avec toi, je veux tendre au lieu de prétendre ! Avec toi, je veux rendre au lieu de vouloir tout prendre ! Je vais attendre et espérer au lieu d’entendre les bruits qui courent en propageant des rumeurs que cette vie n’est que douleur.
Inaudibles sons de la nature ! Incroyable richesse de la solitude ! Insondable destin de l’homme ! La mort, tragique expérience de l’être ! L’amour, l’essence de toutes choses ! Le bonheur, l’idéal de l’existence ! L’échec, l’école dont le maître n’est autre que soi ! L’amitié, l’autre moi ! L’insatisfaction, le propre de l’homme ! L’admiration, l’idéal de l’amour ! La jalousie, la maladie d’amour ! La passion, l’illusion de l’amour ! La possession, déguisement d’un amour malade !
De l’amour, il préféra des louanges, De l’amitié, il choisit des pouces levés en guise des likes, De la raison, il choisit les réseaux! De la pensée, il choisit les dépenses, de la vie, il optera la survie! Dans son miroir ; maquillé et bien habillé, il voyait une star ; le soir, tous les masques tombés ; il retrouvait l’enfant triste et solitaire, dans le même miroir ! Il retrouvait son cœur vide et une âme brouillée par les contradictions ! Il était malheureux, il le savait ! Il était misérable, il le sentait ! Incapable de renoncer aux flashs, son impuissance la tuait ! Il chantait l’amour, pour apprivoiser ce sentiment de plus en plus rare dans sa vie. Il revendiquait les choses dont il ignorait la profondeur, il les tatouait sur sa peau juste pour appartenir,
Aux gens qui m’ont accueilli quand j’avais besoin d’un «je comprends.» Aux gens qui m’ont encouragé quand j'avais besoin d'un «tu peux y arriver.» Aux gens qui m’ont transmis la foi, la patience et la confiance en me rappelant que «tout passe.» Aux gens qui m’ont vu renaitre et qui m’ont souhaité le bienvenu Aux …
Et puis on grandit, on prend petit à petit notre vie en main, une vie bien complexe où s’entremêlent les joies et les tragédies, l’amour et la haine, le berceau et la tombe.Nous nous accrochons aux choses et aux êtres, la vie les décroche sans commun accord, ni commune mesure !Nous prévoyons un avenir …
Je vois des célibataires malheureux qui ne vivent qu’en critiquant la vie de couple , une vie dont ils rêvent en silence, dont ils chérissent tendrement, une vie qu’ils sont incapables de vivre parce que leur amertume et leur jalousie ont pris place au profit d’un amour compatissant et accueillant! Je vois le monde, cependant, certains sujets restent tabous! De notre ère, critiquer une femme, c’est s’éloigner de la cause. Être un homme performant, il faut avoir une liste interminable des femmes aux cœurs brisées (l’inverse est vraie). Certains sujets divisent et /ou ils sont surinterprétés.